6 février 2009
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23:39
Bouygues Telecom ne s'annonce jamais vaincu ... et même après un jugement initial puis un premier appel le condamnant à démonter ses antennes relais, il cherche encore le moyen d'aller en justice ... pour obtenir raison coûte que coûte, envers et contre tous, en parfaite injustice !
Et quand on sait les arguments avancés par BT (Bouygues, pas British du tout !) on se prend à pleurer ! En effet le jugement initial avait demandé le démontage de l'antenne au nom du principe de précaution. La cour d'appel a elle estimé qu'aucun élément ne permet d'écarter péremptoirement l'impact sur la santé publique de l'exposition de personnes à des ondes ou ) des champs électromagnétiques produits par ces antennes.
BT se permet de regretter cette décision comme si il était au dessus des lois de ce pays, de dire que la décision du tribunal n'a pas été motivée par le principe de précaution mais au nom de trouble anormal du voisinage (sous entendant que ce trouble émanant de péquins n'a pas de valeur).
Lui emboitant le pas, l'AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles) fait remarquer que ce démontage d'antenne privera nécessairement des usagers du mobile de la zone couverte par cette antenne, une forme déguisée de chantage au non usage possible du mobile.
Mais même si à la tête de BT, on trouve un ami du président, il semble que les juges de ce pays sont encore impartiaux. A moins que ce ne soit la menace que fait peser NS sur le juge d'instruction, qui provoque ce jugement sans doute partial ?
Si c'est le cas, ce n'est que justice !
Et quand on sait les arguments avancés par BT (Bouygues, pas British du tout !) on se prend à pleurer ! En effet le jugement initial avait demandé le démontage de l'antenne au nom du principe de précaution. La cour d'appel a elle estimé qu'aucun élément ne permet d'écarter péremptoirement l'impact sur la santé publique de l'exposition de personnes à des ondes ou ) des champs électromagnétiques produits par ces antennes.
BT se permet de regretter cette décision comme si il était au dessus des lois de ce pays, de dire que la décision du tribunal n'a pas été motivée par le principe de précaution mais au nom de trouble anormal du voisinage (sous entendant que ce trouble émanant de péquins n'a pas de valeur).
Lui emboitant le pas, l'AFOM (Association Française des Opérateurs Mobiles) fait remarquer que ce démontage d'antenne privera nécessairement des usagers du mobile de la zone couverte par cette antenne, une forme déguisée de chantage au non usage possible du mobile.
Mais même si à la tête de BT, on trouve un ami du président, il semble que les juges de ce pays sont encore impartiaux. A moins que ce ne soit la menace que fait peser NS sur le juge d'instruction, qui provoque ce jugement sans doute partial ?
Si c'est le cas, ce n'est que justice !